Les anciens de la Maison Chamois
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Forum Historique du Chamois Niortais FC depuis 2002 :: Rubriques :: Les Chamois en R3 mais toujours les Chamois !
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Re: Les anciens de la Maison Chamois
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/L-inter-milan-interesse-par-malcuit/925622
jaijai- Chamois d'Argent
- Localisation : Ré Island
Chamois favori : Christophe Marichez
2ème équipe préférée : FC Nantes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Tu m'as devancé Jaijai.
On verra si l'intêret débouche sur quelque chose de concret, mais je pense que Malcuit peut clairement faire son trou dans un club comme l'Inter.
On verra si l'intêret débouche sur quelque chose de concret, mais je pense que Malcuit peut clairement faire son trou dans un club comme l'Inter.
Lenin Cat- Chamois de Bronze
- Localisation : U.R.S.Centre-Ouest
Occupation : Prof et quiz
Chamois favori : Sala
2ème équipe préférée : Bordeaux - Rennes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
En cas de transfert, est-ce-qu'on toucherait encore un pourcentage, ou est-ce-que c'était seulement pour la première revente ? J'imagine que non mais ca serait sympa !
Axel- Chamois de Fer
- Localisation : Singapour
2ème équipe préférée : Olympique Lyonnais
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Peut etre une prime de formation.
jaijai- Chamois d'Argent
- Localisation : Ré Island
Chamois favori : Christophe Marichez
2ème équipe préférée : FC Nantes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Dans ces conditions, c'est Monaco qui l'obtiendrait puisqu'il a été formé là-bas...Ensuite il est passé par Vannes en prêt, puis Fréjus avant de signer chez nous en janvier 2014!jaijai a écrit:Peut etre une prime de formation.
_________________
:ola:
Baby79- Chamois de Bois
- Localisation : Cherveux
Chamois favori : Azzo and Gastien family
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Baby79 a écrit:Dans ces conditions, c'est Monaco qui l'obtiendrait puisqu'il a été formé là-bas...Ensuite il est passé par Vannes en prêt, puis Fréjus avant de signer chez nous en janvier 2014!jaijai a écrit:Peut etre une prime de formation.
C'était une boutade...
il est arrivé chez nous à 23 ans, on peut considerer qu'on l'a formé un peu...
jaijai- Chamois d'Argent
- Localisation : Ré Island
Chamois favori : Christophe Marichez
2ème équipe préférée : FC Nantes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
http://news.maxifoot.fr/info-287836_180725/football.php
allezchamois- Chamois de Fer
- Localisation : Niort
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Pas sur que ça suffise pour les nantais en sachant que 50% de la vente reviendrait à Bordeaux.
Visiblement les bordelais savent bien négocier....
Visiblement les bordelais savent bien négocier....
jaijai- Chamois d'Argent
- Localisation : Ré Island
Chamois favori : Christophe Marichez
2ème équipe préférée : FC Nantes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Damien Da Silva pour 2 ans à Rennes.
_________________
- @Minoskovic -
minoskovic- Chamois de Feu
- Localisation : Bressuire
2ème équipe préférée : Monaco
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Il y a une question qui n'est pas reglé c'est Junior sambia. Montpellier l' a pas racheté.
Festiv79- Chamois de Fer
- Localisation : Moutiers sous Chantemerle
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Festiv79 a écrit:Il y a une question qui n'est pas reglé c'est Junior sambia. Montpellier l' a pas racheté.
Sambia est bien un joueur de montpellier definitivement depuis la saison derniere. Et il a bien repris dans l'herault en ce debut de saison
l'option d'achat eté obligatoire, aucune chance de le voir revenir. le pret eté juste une facilité pour le paiement pour le MHSC.
Lucky Luke- Chamois d'Or
- Localisation : St Gelais
Chamois favori : Hebras/Bernard
2ème équipe préférée : SEULEMENT NIORT
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Lucky Luke a écrit:Festiv79 a écrit:Il y a une question qui n'est pas reglé c'est Junior sambia. Montpellier l' a pas racheté.
Sambia est bien un joueur de montpellier definitivement depuis la saison derniere. Et il a bien repris dans l'herault en ce debut de saison
l'option d'achat eté obligatoire, aucune chance de le voir revenir. le pret eté juste une facilité pour le paiement pour le MHSC.
Merci comme je voyais aucune annonce sur les deux site, ca me paraissait bizarre.
Festiv79- Chamois de Fer
- Localisation : Moutiers sous Chantemerle
Re: Les anciens de la Maison Chamois
N'Zuzi, après son périple Parisien, Chambly, réserve du PSG, Boulogne Billancourt, signe à Dunkerque en National.
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:ola:
Baby79- Chamois de Bois
- Localisation : Cherveux
Chamois favori : Azzo and Gastien family
Re: Les anciens de la Maison Chamois
A noter que Fred Bong a pris du grade au Paris FC, il était capitaine ce week-end. Autre ancien Chamois, capitaine en L2, Alexandre Bonnet au Havre.
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:ola:
Baby79- Chamois de Bois
- Localisation : Cherveux
Chamois favori : Azzo and Gastien family
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Loukmane Ouédraogo a quitté Sannois Saint Grattien pour signer à Cholet.
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:ola:
Baby79- Chamois de Bois
- Localisation : Cherveux
Chamois favori : Azzo and Gastien family
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Pallois vers Caen?
https://www.francefootball.fr/news/Mercato-caen-se-penche-sur-nicolas-pallois-nantes/926904
https://www.francefootball.fr/news/Mercato-caen-se-penche-sur-nicolas-pallois-nantes/926904
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l'amour est au stade RG, pas dans le pré
Rodney Marshall- Chamois de Feu
- Localisation : Sainte Soline
Occupation : professeur/écrivain
Chamois favori : Johann Chapuis et Nicolas Pallois
2ème équipe préférée : Northampton et Fiorentina
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Naples attend Malcuit
1 min
LaurentArgueyrolles/ LÉquipe
Le latéral droit de Lille devrait s’engager avec le club italien en début de semaine.
À vingt-sept ans, Kévin Malcuit devrait connaître sa première expérience à l’étranger et découvrir la Ligue des champions cette saison. Hier, en début d’aprèsmidi, Naples a trouvé un accord avec Lille pour le transfert du latéral droit autour d’une indemnité de 11 M€, assortie de bonus et d’un éventuel intéressement à la revente. Le club de Serie A doit maintenant ficeler les derniers détails de l’engagement contractuel du joueur, arrivé au LOSC, en provenance de l’AS Saint-Étienne, pour environ 9 M€, l’été dernier. Malcuit devra ensuite satisfaire à la visite médicale pour valider une opération qui ne devrait pas être officialisée avant demain ou mardi.
Ce transfert représenterait, en tout cas, un joli tremplin pour le Lillois, qui a pris le temps pour exprimer tout son potentiel. Formé au Racing 92 puis à l’AS Monaco, Kévin Malcuit a dû passer par Vannes (N, janvier-mai 2012), Fréjus-Saint-Raphaël (N, juillet 2012-décembre 2013) puis Niort (L 2, janvier 2014-mai 2015) pour s’épanouir avant de rallier l’ASSE, à l’été 2015.
À son poste, le club napolitain avait initialement jeté son dévolu sur Youssouf Sabaly. Un accord avait même été trouvé avec Bordeaux pour le transfert de l’international sénégalais (25 ans). Mais l’opération a finalement échoué. En Italie, on évoquait un problème à la visite médicale pour un joueur qui s’est blessé au genou droit lors de la Coupe du monde. Une version démentie par les dirigeants girondins qui évoquaient, eux, une manœuvre pour faire baisser l’indemnité de transfert. Naples s'était aussi intéressé à Santiago Arias (26 ans), défenseur colombien du PSV Eindhoven, qui s'est finalement engagé mardi en faveur de l'Atlético de Madrid. B. Gh.
1 min
LaurentArgueyrolles/ LÉquipe
Le latéral droit de Lille devrait s’engager avec le club italien en début de semaine.
À vingt-sept ans, Kévin Malcuit devrait connaître sa première expérience à l’étranger et découvrir la Ligue des champions cette saison. Hier, en début d’aprèsmidi, Naples a trouvé un accord avec Lille pour le transfert du latéral droit autour d’une indemnité de 11 M€, assortie de bonus et d’un éventuel intéressement à la revente. Le club de Serie A doit maintenant ficeler les derniers détails de l’engagement contractuel du joueur, arrivé au LOSC, en provenance de l’AS Saint-Étienne, pour environ 9 M€, l’été dernier. Malcuit devra ensuite satisfaire à la visite médicale pour valider une opération qui ne devrait pas être officialisée avant demain ou mardi.
Ce transfert représenterait, en tout cas, un joli tremplin pour le Lillois, qui a pris le temps pour exprimer tout son potentiel. Formé au Racing 92 puis à l’AS Monaco, Kévin Malcuit a dû passer par Vannes (N, janvier-mai 2012), Fréjus-Saint-Raphaël (N, juillet 2012-décembre 2013) puis Niort (L 2, janvier 2014-mai 2015) pour s’épanouir avant de rallier l’ASSE, à l’été 2015.
À son poste, le club napolitain avait initialement jeté son dévolu sur Youssouf Sabaly. Un accord avait même été trouvé avec Bordeaux pour le transfert de l’international sénégalais (25 ans). Mais l’opération a finalement échoué. En Italie, on évoquait un problème à la visite médicale pour un joueur qui s’est blessé au genou droit lors de la Coupe du monde. Une version démentie par les dirigeants girondins qui évoquaient, eux, une manœuvre pour faire baisser l’indemnité de transfert. Naples s'était aussi intéressé à Santiago Arias (26 ans), défenseur colombien du PSV Eindhoven, qui s'est finalement engagé mardi en faveur de l'Atlético de Madrid. B. Gh.
PERLINPINPIN- Chamois de Bois
Re: Les anciens de la Maison Chamois
https://www.rtbf.be/sport/football/belgique/jupilerproleague/detail_dylan-bronn-je-mets-du-bourvil-au-vestiaire-ca-les-rend-tous-dingues?id=9822813
Je ne sais pas si cela a déjà été posté mais itw intéressante de D Bron.
Je ne sais pas si cela a déjà été posté mais itw intéressante de D Bron.
eperlan- Chamois de Bronze
- Chamois favori : Jacques Richard
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Jimmy ROYE passeur (sur corner) et buteur contre l'AJA.....Bravo à lui
_________________
chamoisement votre - JE SUIS CHAMOIS -
HAXO- Chamois d'Argent
- Localisation : Devant un PC
Chamois favori : Pascal GASTIEN
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Julien Féret en partance pour la Ligue 2 et Auxerre si on croit les rumeurs des dernières heures.
_________________
- @Minoskovic -
minoskovic- Chamois de Feu
- Localisation : Bressuire
2ème équipe préférée : Monaco
Re: Les anciens de la Maison Chamois
Officiel pour Malcuit à Naples : https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Kevin-malcuit-rejoint-naples-officiel/928955
Une super nouvelle. Ca peut lui ouvrir des portes
Une super nouvelle. Ca peut lui ouvrir des portes
Lenin Cat- Chamois de Bronze
- Localisation : U.R.S.Centre-Ouest
Occupation : Prof et quiz
Chamois favori : Sala
2ème équipe préférée : Bordeaux - Rennes
Re: Les anciens de la Maison Chamois
https://www.francefootball.fr/news/Nicolas-pallois-nantes-exclu-du-groupe-professionnel-apres-une-altercation-avec-miguel-cardoso/929093
allezchamois- Chamois de Fer
- Localisation : Niort
Re: Les anciens de la Maison Chamois
ITW de Philippe Hinschberger dans la NR du jour avant le match face à Grenoble
https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/philippe-hinschberger-des-liens-tres-forts-avec-niort-2?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=57c95b34479a452f008b459d&page=0&pageId=57da5ce0459a4552008b456f
Désormais entraîneur de Grenoble, Philippe Hinschberger, passé deux fois sur le banc des Chamois, s'apprête à recevoir son ancien club en Isère, ce vendredi, pour la troisième journée de Ligue 2 (20 h). L'occasion de prendre de ses nouvelles.
Comment se passent vos débuts à Grenoble ?
Plutôt bien. C'était quelque chose d'un peu précipité, avec une arrivée très tardive, mais globalement, ça se passe très bien, que ce soit la prise en main du groupe, la préparation, mais aussi des premiers matchs plutôt satisfaisants.
Suite à votre départ de Metz, comment avez-vous occupé le temps ?
Je suis parti de Metz à la fin octobre. Novembre et décembre sont passés, et il y a des clubs qui ont changé de coachs, comme Nancy ou Auxerre. J'ai postulé, sans succès, pensant bêtement que mon passage à Metz, en montant en Ligue 1 puis en maintenant le club, allait m'ouvrir plus de portes. Mais la concurrence, aujourd'hui, est très violente. Du coup, je n'étais pas loin de Niort, à l'île de Ré, où j'ai passé sept mois. Je me suis un peu occupé en faisant des plateaux télés, en allant voir des matchs, notamment aux Chamois. Pour rester au contact, et regarder un peu ce qui peut bouger. Le projet de Grenoble est arrivé tardivement, mais il est arrivé.
C'est important de rester dans l'action dans ces moments ?
C'est impossible de faire autrement. On regarde des matchs à la télé. Je suis beaucoup la Ligue 2, et je connaissais déjà très bien la Ligue 1 après un an et demi passés à Metz. Quand il faut voir des matchs, il faut aller à Bordeaux, à Nantes, donc ça fait des déplacements et ce n'est pas toujours évident. Mais on s'y fait. Moi, je déteste le fait de venir montrer ma tête, venir dire bonjour et serrer des mains. C'est très sympa, mais ce n'est pas toutes les semaines que je fais cela.
Niort est certainement en avance sur Grenoble
Philippe Hinschberger, entraîneur du Grenoble Foot 38
Vous évoquiez Niort. On vous a vu plusieurs fois à René-Gaillard, quel est votre lien avec le club ?
J'ai des liens très forts avec Niort, parce que j'en ai été l'entraîneur pendant cinq ans, de 2001 à 2004 puis de 2005 à 2007. Je suis resté en relation très étroite avec Joël (Coué) qui, à l'époque où j'y étais, avait le rôle de président du centre de formation. Karim Fradin était mon joueur, et même mon capitaine lorsqu'on est remonté en 2005-2006. Donc je connais tout le monde, de Guy Fleurquin à Marie-Françoise Bris, en passant le comptable, Manu. C'est comme si j'étais encore un petit peu chez moi.
Il y a eu aussi une succession à mener, celle de Denis Renaud. Votre nom était d'ailleurs sorti : étiez-vous proche d'être nommé ?
Proche, je n'en sais rien. J'en avais parlé avec Joël (Coué) à l'époque, qui était encore président du conseil de surveillance, et aussi avec Karim (Fradin), qui m'a reçu. Je sais très bien que si les Chamois ont besoin de mes services, ce n'est pas obligatoire qu'on ait une discussion. Enfin, je vois cela comme ça. Après, vous savez, j'étais à soixante kilomètres. C'était facile pour moi de venir voir des matchs. Les gens ont pensé que je venais là pour reprendre le club, mais pas du tout. Quand on habite sur l'île de Ré et qu'on veut voir de la Ligue 2, il faut bouger. Donc les Chamois, c'était très bien pour moi.
Avez-vous suivi l'intersaison niortaise ?
C'est dans l'optique du club actuellement, et de ce que veut faire Karim, c'est à dire recruter pas mal de jeunes joueurs à plus-value et des reventes intéressante, et les façonner à leur image. Pour l'instant, sur le début de saison, cela marche plutôt bien.
Patrice Lair est en train de se tailler une belle réputation
Philippe Hinschberger
Il y a un nouvel entraîneur qui est arrivé, Patrice Lair. Qu'en saviez-vous avant qu'il ne reprenne les rênes ?
Pas grand-chose, mis à part que je l'ai rencontré il y a trois ans, lorsque j'étais dans le jury du BEPF où il s'était présenté. J'étais dans le jury du projet sportif, et il était chargé de nous exposer le pourquoi du comment il voulait passer ce diplôme. C'est un garçon dont on ne connaît pas grand-chose, parce qu'il a essentiellement entraîné les filles, avec beaucoup de réussite. On connaît peut-être un petit peu plus les techniciens qui font déjà partie du giron de la Ligue 2. Ceci dit, il est en train de se tailler une belle réputation, donc c'est plutôt bien.
Sur le match de vendredi, comment le voyez-vous ? Comme une obligation de prendre des points face à un concurrent direct ?
Cette obligation est permanente. Après, que l'on soit concurrent ou pas, je n'en sais rien. Ce sont deux clubs qui sont à peu près équivalents en termes de budget. Mais Niort est certainement en avance, pour deux raisons. D'abord, ils ont fait des transferts récemment, donc ils récupèrent un petit peu d'argent. Deuxièmement, les frais d'organisation à Grenoble... Je n'avais pas l'habitude. À Laval, c'était 40.000 € par an. Ici, je ne vous fait pas de dessin, mais le Stade des Alpes coûte cher, notamment pour la sécurité. Donc le budget est amputé par rapport à ça, et la différence est là, aujourd'hui. D'autant plus que Grenoble n'a plus de centre de formation, donc il faut aller chercher des jeunes joueurs ailleurs, et c'est toujours un peu plus cher.
1
Comme le nombre de titre remporté par Philippe Hinschberger à la tête des Chamois Niortais : celui du championnat de National, saison 2005-2006. Une saison aboutie, avec un certain Karim Fradin sur le terrain, qui avait permis au club niortais de retrouver les joies de la Ligue 2.
Le stade est aussi l'un des chantiers des Chamois. Selon vous, c'est l'axe principal de développement du club ?
Pour moi, il y a deux axes si un club comme Niort ne veut pas se faire doubler. J'ai parlé avec les dirigeants, ils en sont conscients. Aujourd'hui, c'est un centre d'entraînement, et un nouveau stade. Ou du moins, une enceinte un peu plus moderne. Après, Niort a des atouts : la région, La Rochelle, la mer. Mais les joueurs ne viennent pas pour le sable fin, mais parce qu'il y a un stade, des conditions d'entraînement. Pour moi, ces deux choses à Niort sont un serpent de mer. Je suis arrivé en 2001, donc ça fait dix-sept ans, avec les différentes municipalités. Je connais très bien les villes de ce genre, comme Laval. C'est limite si on nous dit de monter en Ligue 1, et qu'après on fera. Et puis quand vous montez, ils n'ont toujours pas commencé. Après, vous descendez parce que c'est trop dur, et on vous dit qu'on ne peut pas faire, parce que vous êtes redescendus. À un moment donné, il faut devancer. La piste d'athlétisme de Niort est, aujourd'hui, un frein pour le foot. Il n'y a plus un club en France comme ça. Mais c'est la troisième ou quatrième piste française. Il y a beaucoup de championnats. Donc les municipalités investissent bien où elles veulent. Je ne vais pas prêcher pour notre paroisse, mais jouer au foot dans un stade comme René-Gaillard, c'est chaud. Ou plutôt froid, justement.
Vous aurez peut-être des conseils à donner, avec le Stade des Alpes à votre disposition...
Oui, mais il ne faut pas non plus que cet outil vous bouffe le tiers de votre budget. Il ne faut pas oublier qu'on est dedans deux fois par mois, au maximum. Après, c'est vrai que ce sont des critères qui peuvent attirer les joueurs, donc c'est important. Il ne faut pas avoir peur de montrer ses structures. Le GF38 sait très bien aussi qu'il y a un centre d'entraînement à construire, parce q'il y a tout ce qu'il faut, mais c'est plus que vieillissant. Le président, le manager général, tout le monde est au courant. Ils sont en train de travailler là-dessus, parce qu'ils savent que pour être attractif, avancer, il faut avoir ça. On ne peut pas demander à des gens d'être irréprochables si on ne leur donne pas ce qu'il faut. Aujourd'hui, un joueur professionnel ça ne s'entraîne plus dans un couloir. Ce n'est pas possible. J'ai connu ça à Créteil. Et aujourd'hui, ils sont en CFA (National 2).
Philippe Hinschberger a effectué deux mandats à la tête des Chamois Niortais, pour un titre.
(Photo archives NR).
Tôt ou tard, les performances sportives en pâtissent ?
Oui, obligatoirement. Parce que vous vous faites doubler par d'autres clubs. Aujourd'hui, le Stade Lavallois, qui n'est pas dans une plus grande ville que Niort, est peut-être en National, parce qu'il y a aussi d'autres raisons, mais est en avance sur les Chamois en termes de structures. Même si le stade Le Basser est vieillissant, le centre d'entraînement a cinq ou six ans. Ce sont des outils qui ne coûtent pas si cher que cela.
Les Chamois ont croisé la route de deux anciens entraîneurs, pour deux succès. Quel serait votre recette pour ne pas être le troisième sur la liste ?
Je suis comme eux, je n'ai croisé que des anciens clubs pour l'instant. On a joué contre Sochaux, où j'ai été entraîneur en 1996, et au Havre, où je l'étais en 2004. On reçoit les Chamois, puis on va à Metz, en Coupe de la Ligue. Vous voyez, je suis pareil ! Pour l'instant, j'ai deux victoires aussi, donc ça fait un partout. Mais deux points de moins, même si le point du Havre n'était pas un mauvais point.
Ce sont les matchs que vous cochez en premier, généralement ?
Oui, parce que c'est sympa, on regarde quand on va affronter Niort, Metz, ou Laval. Mais je suis aussi content de jouer contre Nancy ou d'aller à Lens. Ce qu'on coche, c'est surtout quand viennent les matchs rapprochés, quand on reçoit deux fois, quels sont les mois compliqués par rapport aux adversaires. Mais de toute façon, les matchs, il faut les jouer.
https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/philippe-hinschberger-des-liens-tres-forts-avec-niort-2?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=57c95b34479a452f008b459d&page=0&pageId=57da5ce0459a4552008b456f
Désormais entraîneur de Grenoble, Philippe Hinschberger, passé deux fois sur le banc des Chamois, s'apprête à recevoir son ancien club en Isère, ce vendredi, pour la troisième journée de Ligue 2 (20 h). L'occasion de prendre de ses nouvelles.
Comment se passent vos débuts à Grenoble ?
Plutôt bien. C'était quelque chose d'un peu précipité, avec une arrivée très tardive, mais globalement, ça se passe très bien, que ce soit la prise en main du groupe, la préparation, mais aussi des premiers matchs plutôt satisfaisants.
Suite à votre départ de Metz, comment avez-vous occupé le temps ?
Je suis parti de Metz à la fin octobre. Novembre et décembre sont passés, et il y a des clubs qui ont changé de coachs, comme Nancy ou Auxerre. J'ai postulé, sans succès, pensant bêtement que mon passage à Metz, en montant en Ligue 1 puis en maintenant le club, allait m'ouvrir plus de portes. Mais la concurrence, aujourd'hui, est très violente. Du coup, je n'étais pas loin de Niort, à l'île de Ré, où j'ai passé sept mois. Je me suis un peu occupé en faisant des plateaux télés, en allant voir des matchs, notamment aux Chamois. Pour rester au contact, et regarder un peu ce qui peut bouger. Le projet de Grenoble est arrivé tardivement, mais il est arrivé.
C'est important de rester dans l'action dans ces moments ?
C'est impossible de faire autrement. On regarde des matchs à la télé. Je suis beaucoup la Ligue 2, et je connaissais déjà très bien la Ligue 1 après un an et demi passés à Metz. Quand il faut voir des matchs, il faut aller à Bordeaux, à Nantes, donc ça fait des déplacements et ce n'est pas toujours évident. Mais on s'y fait. Moi, je déteste le fait de venir montrer ma tête, venir dire bonjour et serrer des mains. C'est très sympa, mais ce n'est pas toutes les semaines que je fais cela.
Niort est certainement en avance sur Grenoble
Philippe Hinschberger, entraîneur du Grenoble Foot 38
Vous évoquiez Niort. On vous a vu plusieurs fois à René-Gaillard, quel est votre lien avec le club ?
J'ai des liens très forts avec Niort, parce que j'en ai été l'entraîneur pendant cinq ans, de 2001 à 2004 puis de 2005 à 2007. Je suis resté en relation très étroite avec Joël (Coué) qui, à l'époque où j'y étais, avait le rôle de président du centre de formation. Karim Fradin était mon joueur, et même mon capitaine lorsqu'on est remonté en 2005-2006. Donc je connais tout le monde, de Guy Fleurquin à Marie-Françoise Bris, en passant le comptable, Manu. C'est comme si j'étais encore un petit peu chez moi.
Il y a eu aussi une succession à mener, celle de Denis Renaud. Votre nom était d'ailleurs sorti : étiez-vous proche d'être nommé ?
Proche, je n'en sais rien. J'en avais parlé avec Joël (Coué) à l'époque, qui était encore président du conseil de surveillance, et aussi avec Karim (Fradin), qui m'a reçu. Je sais très bien que si les Chamois ont besoin de mes services, ce n'est pas obligatoire qu'on ait une discussion. Enfin, je vois cela comme ça. Après, vous savez, j'étais à soixante kilomètres. C'était facile pour moi de venir voir des matchs. Les gens ont pensé que je venais là pour reprendre le club, mais pas du tout. Quand on habite sur l'île de Ré et qu'on veut voir de la Ligue 2, il faut bouger. Donc les Chamois, c'était très bien pour moi.
Avez-vous suivi l'intersaison niortaise ?
C'est dans l'optique du club actuellement, et de ce que veut faire Karim, c'est à dire recruter pas mal de jeunes joueurs à plus-value et des reventes intéressante, et les façonner à leur image. Pour l'instant, sur le début de saison, cela marche plutôt bien.
Patrice Lair est en train de se tailler une belle réputation
Philippe Hinschberger
Il y a un nouvel entraîneur qui est arrivé, Patrice Lair. Qu'en saviez-vous avant qu'il ne reprenne les rênes ?
Pas grand-chose, mis à part que je l'ai rencontré il y a trois ans, lorsque j'étais dans le jury du BEPF où il s'était présenté. J'étais dans le jury du projet sportif, et il était chargé de nous exposer le pourquoi du comment il voulait passer ce diplôme. C'est un garçon dont on ne connaît pas grand-chose, parce qu'il a essentiellement entraîné les filles, avec beaucoup de réussite. On connaît peut-être un petit peu plus les techniciens qui font déjà partie du giron de la Ligue 2. Ceci dit, il est en train de se tailler une belle réputation, donc c'est plutôt bien.
Sur le match de vendredi, comment le voyez-vous ? Comme une obligation de prendre des points face à un concurrent direct ?
Cette obligation est permanente. Après, que l'on soit concurrent ou pas, je n'en sais rien. Ce sont deux clubs qui sont à peu près équivalents en termes de budget. Mais Niort est certainement en avance, pour deux raisons. D'abord, ils ont fait des transferts récemment, donc ils récupèrent un petit peu d'argent. Deuxièmement, les frais d'organisation à Grenoble... Je n'avais pas l'habitude. À Laval, c'était 40.000 € par an. Ici, je ne vous fait pas de dessin, mais le Stade des Alpes coûte cher, notamment pour la sécurité. Donc le budget est amputé par rapport à ça, et la différence est là, aujourd'hui. D'autant plus que Grenoble n'a plus de centre de formation, donc il faut aller chercher des jeunes joueurs ailleurs, et c'est toujours un peu plus cher.
1
Comme le nombre de titre remporté par Philippe Hinschberger à la tête des Chamois Niortais : celui du championnat de National, saison 2005-2006. Une saison aboutie, avec un certain Karim Fradin sur le terrain, qui avait permis au club niortais de retrouver les joies de la Ligue 2.
Le stade est aussi l'un des chantiers des Chamois. Selon vous, c'est l'axe principal de développement du club ?
Pour moi, il y a deux axes si un club comme Niort ne veut pas se faire doubler. J'ai parlé avec les dirigeants, ils en sont conscients. Aujourd'hui, c'est un centre d'entraînement, et un nouveau stade. Ou du moins, une enceinte un peu plus moderne. Après, Niort a des atouts : la région, La Rochelle, la mer. Mais les joueurs ne viennent pas pour le sable fin, mais parce qu'il y a un stade, des conditions d'entraînement. Pour moi, ces deux choses à Niort sont un serpent de mer. Je suis arrivé en 2001, donc ça fait dix-sept ans, avec les différentes municipalités. Je connais très bien les villes de ce genre, comme Laval. C'est limite si on nous dit de monter en Ligue 1, et qu'après on fera. Et puis quand vous montez, ils n'ont toujours pas commencé. Après, vous descendez parce que c'est trop dur, et on vous dit qu'on ne peut pas faire, parce que vous êtes redescendus. À un moment donné, il faut devancer. La piste d'athlétisme de Niort est, aujourd'hui, un frein pour le foot. Il n'y a plus un club en France comme ça. Mais c'est la troisième ou quatrième piste française. Il y a beaucoup de championnats. Donc les municipalités investissent bien où elles veulent. Je ne vais pas prêcher pour notre paroisse, mais jouer au foot dans un stade comme René-Gaillard, c'est chaud. Ou plutôt froid, justement.
Vous aurez peut-être des conseils à donner, avec le Stade des Alpes à votre disposition...
Oui, mais il ne faut pas non plus que cet outil vous bouffe le tiers de votre budget. Il ne faut pas oublier qu'on est dedans deux fois par mois, au maximum. Après, c'est vrai que ce sont des critères qui peuvent attirer les joueurs, donc c'est important. Il ne faut pas avoir peur de montrer ses structures. Le GF38 sait très bien aussi qu'il y a un centre d'entraînement à construire, parce q'il y a tout ce qu'il faut, mais c'est plus que vieillissant. Le président, le manager général, tout le monde est au courant. Ils sont en train de travailler là-dessus, parce qu'ils savent que pour être attractif, avancer, il faut avoir ça. On ne peut pas demander à des gens d'être irréprochables si on ne leur donne pas ce qu'il faut. Aujourd'hui, un joueur professionnel ça ne s'entraîne plus dans un couloir. Ce n'est pas possible. J'ai connu ça à Créteil. Et aujourd'hui, ils sont en CFA (National 2).
Philippe Hinschberger a effectué deux mandats à la tête des Chamois Niortais, pour un titre.
(Photo archives NR).
Tôt ou tard, les performances sportives en pâtissent ?
Oui, obligatoirement. Parce que vous vous faites doubler par d'autres clubs. Aujourd'hui, le Stade Lavallois, qui n'est pas dans une plus grande ville que Niort, est peut-être en National, parce qu'il y a aussi d'autres raisons, mais est en avance sur les Chamois en termes de structures. Même si le stade Le Basser est vieillissant, le centre d'entraînement a cinq ou six ans. Ce sont des outils qui ne coûtent pas si cher que cela.
Les Chamois ont croisé la route de deux anciens entraîneurs, pour deux succès. Quel serait votre recette pour ne pas être le troisième sur la liste ?
Je suis comme eux, je n'ai croisé que des anciens clubs pour l'instant. On a joué contre Sochaux, où j'ai été entraîneur en 1996, et au Havre, où je l'étais en 2004. On reçoit les Chamois, puis on va à Metz, en Coupe de la Ligue. Vous voyez, je suis pareil ! Pour l'instant, j'ai deux victoires aussi, donc ça fait un partout. Mais deux points de moins, même si le point du Havre n'était pas un mauvais point.
Ce sont les matchs que vous cochez en premier, généralement ?
Oui, parce que c'est sympa, on regarde quand on va affronter Niort, Metz, ou Laval. Mais je suis aussi content de jouer contre Nancy ou d'aller à Lens. Ce qu'on coche, c'est surtout quand viennent les matchs rapprochés, quand on reçoit deux fois, quels sont les mois compliqués par rapport aux adversaires. Mais de toute façon, les matchs, il faut les jouer.
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Re: Les anciens de la Maison Chamois
Belle ITW lucide notamment niveau structure.
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